Greece
Grec(1900)“Les masques Japonais”, Le Monde Moderne Tome 12, n.a. [FR]
- 745elle s’appuyait cependant sur des arguments d’une valeur indiscutable et il fallait, bon gré mal gré, après avoir lu l’article, convenir que nulle race dans son essence intime el dans ses tendances eslhéliques fondamen lal es ne se rapprochait plus des Grecs que les Japonais.
- 103-104Quelques-uns rappellent les masques de la comédie grecque énumérés par Pollux
- 198Les luttes épiques des Taïra et des Minamoto soulèvent dans les cœurs une émotion toujours nouvelle, et les malheurs de ces illustres familles ne le cèdent pas en touchante popularité aux infortunes des Atrides et des Pélopides chez les anciens Grecs.
- 199Dans le drame sacré, le kyôghen, lorsqu’il ne constitute pas un spectacle complet et indépendant, prend le caractère du drame satyrique dans la tragédie grecque (1).
- i-iiLes poèmes d’Orphée, d’Hésiode et d’Homère nous font pénétrer plus avant dans la connaissance de l’ancien culte grec, de Iles dogmes et de ses rites, que tous les ouvrage des mythologues.
- iiLa tragédie grecque, dit M.Croiset, est «une des formes du culte public».
- iiiLa tragédie française, en effet, succède au drame chrétien sans lui rien emprunter; eIle doit tout au génie souple et lumineux des écrivains de la Grèce et de Rome.
- iiiLa civilisation grecque, voilà le fait capital qui nous sépare des peuples asiatiques.
- 11Les cultes les plus divers ont rehaussé la célébration de leurs fêtes par le déploiement scénique de ces théories, pompes et bacchanales, qui sont représentées sur le fronton des temples de la Grèce ou complaisamment décrites par les poètes de l’Inde ancienne.
- 303. De ces kagoura religieuses est est sorti le drame sacré des Japonais, a peu près comme la tragédie grecque est issue du dithyrambe, et la yâtrā hindoue des hymnes et processions krïshnaites.
- 256-257Le Nipon revendique cependant l’invention de la musique, et le mythe qui relate cet événement rappelle la tradition grecque sur l’invention de la lyre par Apollon.
- 93Chez les anciens Grecs, un élément de gaieté et de variété fut introduit dans la trilogie dramatique par le drame satyrique.
- i-iiRappresent azione quasi sacra, nata in prossimità dei templ come la tragedia greca, o nel recinto dei monasteri come i drammi Medioevali di Suor Hrotsvitha e dei nostri primitivi, il nô è tutt’ora ascoltato dagli aristocratici spettatori con grande raccoglimento ed in religioso silenzio.
- 103M. Pottier a traité cette question pour les procédés du dessin (3), et M. Louis Gonse atteste que «nulle race, dans son essence intime et dans ses tendances esthétiques fondamentales ne se rapproche plus des Grecs que les Japonais (4).»
- 728L’extrême Orient, il faut bien le dire, n’as pa connu la beauté simple et nue des Grecs, apanage de la race âryenne;
- 729Comme chez les Grecs, comme dans notre moyen age, l’origine du drame au Japon est religieuse;
- 750Ce n’est plus le moyen âge, c’est l’antiquité grecque à son tour qui défile devant nous dans ce tableu changeant et fertile en réminiscences, que déroule aux yeux toute civilisation primitive.
- 171-172Comme les Grècs, les Japonais ont accentué l’expression tragique au commune du personnage en scène par un masque placé sur la figure
- 179En suivant des chemins différents, mais grâce au lien commun qui les unit, le respect de la vérité, les Gregs et les Japonais se sont rencontrés parfois dans des analogies très frappantes.
- 82Nous ne connaissons les masques grecs que par certaines reproductions qui se trouvent sur les bas-reliefs ou sur les vases, mais il est certain que personne n’a été plus loin que les Japonais dans l’expression théàtrale des passions et de la vie.
- 11Son rôle correspond assez exactement à celui du chœur de la tragédie grecque.
- 104Comme les masques de l’antiquité gréco-latine, les omora [omote?] du Japon emboitaient plus ou moins complètement la tête.
- 289Le théâtre au pays du Soleil-Levant, a suivi la voie commune au drame grec et au mystère français.
- 289Le drame satyrique ou kiyôghèn, et jusqu’aux personnages essentiels de la comédie gréco-latine.
- 434En Grèce, le drame était né dans le temple, et c’étaient des prêtres qui montaient le chariot de Thespis.
- 434En France, comme en Grêce, le théàtre s’émancipe rapidement et ne tarde pas, semblable à Hercule naissant, à enjamber son berceau pour aller tuer des monstres.
- 745Dans un arlicle inlilulé Grèce et Japon qui fit quelque bruit en son temps, M. Edmond Pottier, le très éminent conservateur de la céramique antique au musée du Louvre, avait, avec une intuition pénétrante, et à l’aide d’exemples probants, montré les analogies singulières qui exis laient, pour tout observateur attentif, sachant aller au delà des apparences, entre le génie artistique des Grecs el celui des Japonais, enlre leurs goù ls primordiaux et leur manière de vivre, enlre leurs procédés techniques et leurs principes de décor.
- 745L’art de tailler et de sculpter les masques, de leur donner des types expressifs et généraux, pour les employer dans les représentations de drame et de comédie et dans les figurations de la danse, s’est généralisé dans l’ancienne Grèce aussi bien que dans l’ancien Japon.
- 746Dans les théâtres de la Grèce et de l’Italie antique, les acteurs de toute classe, tragiques, comiques ou mimes, portaient le masque.
- 82Le nô, avec son mélange de paroles, de musique et de danse, s’accompagne de chants choraux. Ainsi les fonctions de l’auteur tragique en Grèce comprenaient le chant, la déclamation et la mimique (2).
- 832. De même en Grèce, les acteurs tragiques «participèrent longtempsau il caractère sacré de la tragédie elle-même»
- 99Ainsi, en Grèce, écrit M. Croiset, « il n’est guère douteux que le masque tragique n’ait eu une origine religieuse.
- 290Ainsi l’art du théâtre, en Grèce et dans l’Inde, formé d’éléments identiques chez ces deux peuples, a cependant produit deux genres dramatiques divergents: la tragédie, – le nataka.
- 437Les exploits des guerriers célèbres y furent reproduits et chantés comme ceux des héros grecs par les rhapsodes primitifs.
- 103Les masques japonais, dit Mitford, ne sont pas sans resemblance avec ceux de l’ancienne Grèce (2).
- 271On sait qu’en Grèce «la tunique des acteurs était ornée de bandes de couleurs très vives pour les personnages heureux;
- 1A l’origine du Japon, comme dans la Grece antique, la civilisation repose sur les lois de la vie agricole.
- 89Un peu comme cette parte, quand le Théâtre en Grèce a commencé et qu’un e communication à travers le mur a été frayée avec l’invisible, où viennent l’un a près l’autres s’inscrire les personnages de l’Orestie.
- 171Un trait commun à la Grèce et au Japon est cet emploi du masque au théâtre.
- 1183Così cominciarono i « nò », specie di danze sacre eseguite con curiose pantomine da pochi personaggi, che si limitavano a rappresentazioni di carattere mitologico, proprio come quelle della Grecia antichissima: o le divinità in lotta con l’uomo, o in lotta tra loro, o scene relative al Dio del tempio, davanti al quale si eseguivano per ricorrenza di feste.
- 1187Come si vede, anche questo è un altro punto di contatto colle rappresentazioni aristofanesche della Grecia, e con quelle dei mimi romani all’epoca della vendemmia, i quali in mancanza di maschere, per nascondere o variare i propri lineamenti, ricorrevano al mosto dell’uva appena pigiata.
- 9Este antecedente explica que la versacion en el arle del Nogaku fuera uno de los objetivos de la instrucciòn de bs clases elevadas, al tenor ele lo que seria, en la Grecia Antigua, la versacion en los ritos Olimpicos o las ceremonias de Numa en Roma.
- 209The old Grecian myth of the Three Fates represented them as spinning the thread of human destiny, and, indeed, the whole subject of spinning possesses much interest, from the old spindle, a wooden pin a few inches in length having a neck or hook at the small upper end, by which to fasten the thread, and a weight of some sort at the lower end to make it hang properly, to the elaborate satinwood spinning-wheel of the eighteenth century.
- 4Thus, the Noh play is a synthetic art comparable to the old Grecian play, in its simplicity, solemnity and beauty.
- 90si accorgerà che gli risorgono nella mente forme, fantasmi e reminiscenze del tealro greco;
- 90si accorgerà che gli risorgono nella mente forme, fantasmi e reminiscenze del teatro greco
- 1182I rapsodi greci, che davanti al limitato pubblico d’una ospitale famiglia cantano le glorie nazionali, i poemi eroici, i canti mitologici, od i versi che la tradizione attribuisce ad Omero;
- 1184Ecco u’n’altro punto di contatto colle rapsodie greche, a noi tramandate attraverso la fedele memoria dei diversi cantori dei due generi: erotico e guerresco.
- 1186Una delle cose più interessanti, perchè serve a mostrare un altro punto di contatto colle antiche rappresentazioni greche e latine, è la mancanza assoluta del sesso debole dalle rappresentazioni del « Nò » Questo, non perchè mancasse effettivamente la donna nell’intreccio, ma per la solita idea orientale dell’inferiorità femminile rispetto all’uomo.
- xiMentre per la sua semplicità arredo-scenica il teatro dei 116 può essere ravvicinato a quello shakespeariano, per il numero e per la specie dei suoi personaggi esso ricorda invece il teatro greco dei tempi eschilei e sofoclei.
- xiiImportanza grandissima, appunto come nel dramma greco, ha il coro.
- xiiiLe forme cantate sono nove: lo scidai, preludio simile al prologo greco.
- 1IL dramma del Noh-il piu originale contributo giapponese all’arte si potrebbe paragonare all’ antico dramma greco; fondamentalmente esso è però inconfondibile e tutto particolare del Giappone.
- 708Il Fenollosa, Ernest, che fu tra i primi europei che hanno studiato il Nô, l’ha paragonato alla tragedia greca perchè è interamente cantato, è d’ispirazione religiosa, i suoi personaggi principali vi portano la maschera, e il coro vi partecipa.
- 30Come nella tragedia greca anche qui v’e il coro, che può essere rappresentato da dodici persone o anche da una sola.
- 204Il Fenollosa, Ernest, che fu tra i primi europei che hanno studiato il Nô, l’ha paragonato alla tragedia greca perchè è interamente cantato, è d’ispirazione religiosa, i suoi personaggi principali vi portano la maschera, e il coro vi partecipa.
- vie questa’ stessa vicenda di ripensamenti, dagli elisabettiani agli iberici, dai romantici ai neoclassici – testimonia una condizione che tra un bilancio e un ritorno, sa tanto più di sterilità che di ricchezza.
- 3Sotto questo aspetto il dramma «No» rassomiglia all’antico dramma greco; ma le maschere del «No» per l’effetto drammatico che raggiungono, sono forse superiori a quelle greche.
- 462Da allora due teatri, nettamente distinti, con ordinamenti, attori e repertori propri, vivono nel Giappone: quello di derivazione occidentale, in cui hanno fatto la loro apparizione tutte le tendenze venute di fuori (dai classici greci a Shakespeare, a Racine, a Corneille, a Goethe, aa Ibsen, a Hauptmann, a Maeterlinck, a D’Annunzio, a Gorki, a Pineiro, a Fabre, a Bataille, a Shaw, a O’ Neill, e ai quali si sono accodati alcuni, drammaturghi nazionali; e quello tipicamente nazionale, che s’è mantenuto fedele alla tradizione.
- 84-85arrcchisca una congettura, quasi timidamente, ma in pari tempo spiegando tanta forza di acume e di penetrazione, che richiama alla mente la potenza divinatoria del Poliziano nel reintegrare i classici grecolatini, di Stanislao Julien nei cinesi;
- 84The performers wear hideous wigs and masks, not unlike those of ancient Greece, and gorgeous brocade dresses.
- 240The use of the mask in the drama is another of the many features which connect Japan with Greece.
- xiiI notice that their ideal of beauty, unlike that of Greece and like that of pictures from Japan and China, makes them pause at moments of muscular tension.
- 197Like the ancient Greek tragedies and the mystery plays of the Middle Ages, the drama in Japan was in its beginnings closely associated with religion.
- 129-130the action is ordinarily slow, dignified and solemn, rising in the more tragic portions to a rapidity and force which never cross the bounds of violence, and hiding, as did the Greek drama, scenes of uncontrolled passion from the eye of the spectator.
- 130As pure art, this brevity and the general simplicity are perhaps an advantage; for there is no distraction or strain of attention; every beauty is fully comprehended by the audience, the concentration upon a single emotional theme becomes transparent, as it were, and thus, as in the Greek drama, the intensity of effect depends rather upon quality than upon intensity.
- 131This was probably more akin to the early Greek religious dances.
- 32The similarity between the Nô performances and the ancient Greek drama has often attracted attention.
- 457The result was something strikingly similar to the old Greek drama.
- 5The analogy of the course of development here sketched out with that of the Greek drama is too obvious to need any remark.
- 7Whereas our dance consists almost entirely of rhythmical gymnastic with no set purpose but that of striking graceful attitudes, the Japanese dance, like the ancient Greek dance, is entirely of a pantomimic nature, and strives to represent in gesture an historical incident, some mythical legend, or a scene from folklore; its chief characteristic is always expressiveness, and it invariably possesses a strong emotional tendency.
- 16For the No dance is very similar to the ancient Greek drama, in which the three “musical arts” poetry, music, and dancing, had equal importance.
- 16-17Again, in their appeal to the highest and best side of Japanese character the No dramas show a striking resemblance to the Greek drama : they have the same perfection of style and language, an extraordinary depth of feeling, and a nobleness of sentiment which runs throughout all of them.
- 315These masks resemble to the Greek masks, very much more so than dothe masks of “Bugaku “.
- 314This is what we do not notice in the chorus of the Greek theatre, which has often been compared with the chorus of “No” drama.
- 12As is natural, such an arrangement of chorus and stage recalls the Greek plays.
- 12The comparisons and contrasts between this and the Greek, which spring immediately to one’s mind, have already been published by Prof. Chamberlain, Basil Hall and others who have given some account of the No, and to whose works reference should be made (see list on p. 103).
- ithe part of Cuchulain, and who wearing this noble half-Greek half-Asiatic face will appear perhaps like an image seen in a revery by some Orphic worshipper.
- xiiThey sing as much as they speak, and there is a chorus which describes the scene and interprets their thought and never becomes as in the Greek theatre a part of the action.
- 103Then the chorus, in a lament almost Greek:
- 103But the unity of the image is surely the unity of Prometheus, if not to any great extent that of any other Greek drama; it is also the unity of certain cantos of Dante.
- xxThe prose portions serve much the same purpose as the iambics in a Greek play.
- 90Occasionally, also, like the Chorus of the Greek Drama, they serve as direct interpreters of the action.
- 46No is often compared to Greek drama, but this is not quite correct, for in true drama there is not such a forceful dependence upon one actor as in Nō.
- 46Both the Greek drama and the Nō use the masks, but the making and wearing of the masks are quite different.
- xiiThe resemblance of the No to the Greek theatre has often been made the subject of comment.
- 5If comparisons are sought in point of dramatic construction and appeal to intellectual and esthetic values, probably the ancient Greek drama offers the nearest resemblance to the Noh.
- 5Yet, what is left today of the ancient Greek drama is its poetry as literature; of its dramatic form nothing remains.
- 11for there is a a Chorus, as in the Greek plays, but more quiescent
- 204Il Fenollosa, che fu tra i primi europei che hanno studiato il Nô, l’ha paragonato alla tragedia greca perchè è interamente cantato, è d’ispirazione religiosa, i suoi personaggi principali vi portano la maschera, e il coro vi partecipa.