Hōjō
Hosho(1898)“Le théâtre sacré au Japon”, La Revue des Revues. Vol. 26. July., n.a. [FR]
- 435L’Européen, si complètement soit-il au courant des moeurs japonaises, se trouverait désorienté en présence des deux danseurs les plus remarquables de la danse Nô, qui sont aujourd’hui Hojo et Umewara, tandis qu’il applau dirait de tout coeur et en toute sincérité Kikugoro, qui est l’Irving japonais, comme il applaudissait Danjuro, le Mounet-Sully du Japon, enlevé récemment à l’admiration de ses milliers de ses fidèles Comment expliquer cette anomalie ?